29 décembre 2005

outrageuse outrance


Charles Melman, fondateur de l'école lacanienne internationale :" Toute restriction à la jouissance devient intolérable, comme une atteinte à un droit fondamental. Des phénomènes d'opposition outranciers se manifeste au plan mondial par des réactions intégristes et, pour les individus, par des comportements extrêmes comme le suicide ou l'anorexie. LA SOCIETE DE L'OUTRANCE EST TRISTE.
Le politiquement correct est contraire à toute tempérance par son intolérance. Il rejette, exclut, élimine tout ce qui pourrait déranger la capacité collective à jouir...Le politiquement correct constitue l'expression même de l'outrance , transformée en norme."

L'homme sans gravité, foliosessais

28 décembre 2005

world on line


Aujourd'hui j'ai eu des nouvelles de Caro, qui est en Norvège depuis plus d'un an. Elle m'a parlé de Thomas, parti faire une mission en Inde. Je lui est appris que Pierre revenait d'Egypte et que mon frère fêtera la nouvelle année à Londres. I'm a ghost in a shell , amoureuse du foyer , j'y suis , j'y reste comme crucifiée. Ce n'est pas une douleur mais un désir. Des milles, j'en ai fait , bouffé, digéré but all intra muros, dans mon hexagone en forme de coquillage.

27 décembre 2005

I'm fine but I'm human

Première étape accomplie. Préparer le second rendez-vous...uneasy. Bilan et coaching. "J'adore". Faut y aller droit devant. La vie d'adulte avec un travail d'adulte. J'ai pas trop mal résisté.
Yves est parti de l'autre côté de la manche. take a plane and fly away , my baby.
Etat d'esprit vu du ciel. Une vue de l'esprit . Pas vu, pas pris. Mon ciel est gris. Sans raison, y a des jours comme ça. Point de vue, car la lumière est tout de même là. Shini, shine baby, shine.

24 décembre 2005



Mais parce que le roman est mort. Comment raconter mon histoire ? Pense à Maldoror, aux chants de Maldoror. Ma douleur. Les mots sont morts. La vie n’est plus . N’est plus rien . Elle est morte après le roman. Qu’arrivera-t-il après ?Pour la vie et le roman. Raconter mon histoire. Raconter ma vie. Avec quoi. Des mots. Pas de forme. Pas de style. Flux de conscience pur. Comme un rêve zappé zappeur furieux. Furor. Intus et in cute. Chercher au fond de moi ce qu’il faut vomir ou pleurer. Laisser couler, zapper. Prends-en plein les yeux comme j’en ai pris plein la gueule et plein le bide. Boule. Boule au milieu de la gorge, boule au fond du ventre. Lourde , lourde la boule qui pèse et qui empêche d’avancer, de déglutir. Conscience de mon corps mais mon âme ? Où siègent réellement les sentiments. Qu’est la raison sans sentiment. Merde, ramassis de merde. Je zappe. J’enchaîne. délire hallucinatoire. Toutes ces histoires dont je me branle. Le roman est mort. Peut-être il y a trois ans. Non il est mort bien avant le nouveau millénaire. On l’a entendu souffrir et gémir. Il a pris les contours de notre souffrance. Il est devenu notre ventre , notre nombril. Tous les prophètes écrivains ont chanté sa marche funèbre mais nous avons ri, car nous avons entendu le chant de la renaissance. Nos oreilles sont mortes. Maldoror. Les aveugles ont gagné. Je dois avertir Guibert et Sabato. Les aveugles ont gagné. Nos pupilles sont cramées, brûlées par nos huit heures de télé quotidiennes. Moi, je suis seule. J’ai cherché. Cherché le roman qui allait me soulager. Partout. Pas trouver. J’ai bouffé des lignes de mots, des pages de phrases, des histoires de merde qui ne me laisse plus rien. La fiction ne dit plus la vérité. Je suis morte. Non, pas avant d’avoir raconter mon histoire. Mais comment ? où se cache le nouveau roman. Comment faut il écrire pour surprendre , bouleverser encore. Virginia où es tu ? Doit bien y en avoir un encore d’écrivain prophète qui va trouver. Moi, je peux pas aller au bout. Je le sais. Si je l’écris pas, il faut au moins que je le lise. J’attends cette claque dans ma gueule. J’attends ce uppercut dans mon ventre. Mon histoire. Numérique la musique. Numériques les photos. Réalité virtuelle pour vérités éventuelles. Mon père est mort. Réalité. Il y a neuf mois. J’accouche de ma douleur. L’absence. Irrémédiable. Eternité. Irrémédiable éternité.

21 décembre 2005

BEWARE !!!


Pas de compromis. A prendre ou à laisser. Beware!!! Baby , BEWARE!!! Soyons subversifs, réfléchissons par nous même.

18 décembre 2005

no vice

Mes amis. le bout de chou, trois ans déjà. Des retrouvailles encore et encore. Mon luxe. Un peu bu, trop fumé. Le pied!!!

oohh yeah

De blog en blog , tu retrouves celle que tu pensais perdue pour toujours. Ciao bella ragazza http://www.frank-t.blogspot.com/ (bande de curieux!!)

17 décembre 2005

life in orange and blue



La foire. Nath. Des cafés, un kebab et des churros. Retrouvailles et confidences.So sweat so good. Merci .

16 décembre 2005

face to faith


Quand faut y aller, faut y aller. Droit devant. va faire tes papiers, remplir ton dossier ANPE. Chercher un taf. Séduir pendant les entrtiens d'embauche. Ambitions? Vivre et y croire, c'est déjà pas mal crois moi.

15 décembre 2005

mes vivants piliers


Comme elle est belle ma ville au réveil. Regarde les ombres, il doit être tout au plus 9 heures du matin. Rendons à César ce qui aurait pu être à moi, l'auteure de la photo est une certaine Amandine, à moins qu'elle même l'ait piqué à César.... Encore une belle journée, merci

14 décembre 2005


Ben ça y est , comme le ver dans la pomme , j'infiltre la grande toile des blogs pour mieux m'en moquer. Pareil à l'extension de la téléréalité, l'extension du journal intime via le web, qui n'a d'intime que le nom, se répand comme du lait sur un parquet de bois lustré...glissons joyeusement!!!!!
 
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